Les Fondations opératrices sont des structures dont l’objet consiste à opérer directement une ou plusieurs activités d’intérêt général, en se dotant des moyens nécessaires pour organiser et gérer en propre leur mission d’intérêt général. Elles se distinguent en cela des fondations distributives.

Après plus de 60 ans de fonctionnement associatif, l’ARHM est devenue Fondation Reconnue d’Utilité Publique en 2017. La volonté stratégique de l’ARHM de devenir une fondation a été portée par la détermination de garantir le caractère d’intérêt général de ses activités et de maintenir les valeurs humanistes énoncées par ses fondateurs. Cette reconnaissance de Fondation Reconnue d’Utilité Publique inscrit son activité dans un cadre juridique stable et pérenne.

Convié à témoigner lors de cette table ronde, Jean-François Bénévise, Président Fondation ARHM, a pu rappeler cette volonté à l’origine du changement de statut.

Lors des échanges, les intervenants de la table ronde ont pu aborder les enjeux actuels des fondations opératrices au sein du secteur des fondations et plus largement celui de l’intérêt général :

• la facilitation des relations avec les institutions publiques (Conseil d’Etat, Ministères, tutelles)
• le plaidoyer et la connaissance du secteur par le grand public et par les tutelles
• les pistes de collaboration entre les fondations opératrices et fondations distributives.

Table ronde animée par Catherine Schwartz, directrice de la Communication et du Mécénat de la Fondation Partage et Vie et Stéphane Dauge, directeur de la Communication et du Mécénat de la Fondation des Apprentis d’Auteuil.

Intervenants :

• Jean-François Bénévise, Président Fondation ARHM,
• Heidi Giovacchini, Déléguée Générale de la Fondation George Boissel,
• Nicolas Mitton, Responsable du Pôle juridique et affaires publiques du  CFF
• Marie Ruszczynski, Chargée de Projet au CFF.

Présentation 1ères tendances du panorama des fondations opératrices

Les vidéos et actes des Ateliers 2022  seront prochainement disponibles